Le manga Jujutsu Kaisen est une des œuvres les plus vendu au monde ayant écoulé pas mois de 7,6 millions d’exemplaires en 2024.
Ce shonen est considéré pour beaucoup d’entre nous comme un des mangas de type « shonen » se rapprochant le plus des mangas « seinen »
Avant de vous expliquer pourquoi il est considéré comme telle il faut savoir qu’il existe trois grands types de manga qui sont ensuite divisés en plusieurs catégories.
le premier type sont les manga « shonen », ce genre est un des plus présent dans la pop culture. la définition exacte du mot « shonen » signifie pour garçon entre 11 et 16 ans même si d’autres peuvent être intéressés.
le deuxième type est le genre « shojo » qui s’adresse principalement aux filles du même âge.
Enfin le troisième type et le genre « sienen » qui s’adresse à un public mixte en général adulte car ils contiennent des scénes plus violentes et traitent de sujets sensibles sans filtre. C’est à mon sens le seul genre où l’âge recommandé doit être respecté.
maintenant voici l’histoire de jujutsu kaisen :
Dans Jujutsu Kaisen, Gege Akutami explore un monde où les émotions humaines négatives se matérialisent en malédictions, des entités monstrueuses qui menacent l’humanité. L’histoire suit Yuji Itadori, un lycéen ordinaire doté d’une force physique exceptionnelle. Son quotidien bascule lorsqu’il avale l’un des doigts de Ryomen Sukuna, une malédiction légendaire, devenant ainsi son hôte. Condamné à mort par la communauté des exorcistes, Yuji obtient un sursis pour aider à retrouver et détruire tous les fragments de Sukuna.
Sous la tutelle de Satoru Gojo, un exorciste charismatique et surpuissant, Yuji intègre le lycée d’exorcisme de Tokyo. Il y fait équipe avec Nobara Kugisaki, une jeune femme à la volonté de fer, et Megumi Fushiguro, un prodige taciturne. Ensemble, ils affrontent des malédictions de plus en plus dangereuses, mais aussi les zones d’ombre du monde des exorcistes, où intrigues politiques et rivalités brutales se mêlent à la lutte contre le mal.
Jusqu’aux tomes 6-7, le manga bascule de plus en plus vers une ambiance sombre et mature. L’arc du Cimetière de Shibuya met en lumière l’impuissance des héros face à des ennemis supérieurs, soulignant la brutalité des combats et le coût psychologique de leurs missions. Les morts violentes et les dilemmes moraux rappellent que le monde des exorcistes n’offre ni gloire ni répit, mais exige des sacrifices déchirants.
En mettant en avant des thèmes tels que la perte, le sacrifice et la lutte contre soi-même, Jujutsu Kaisen s’impose comme un « seinen » déguisé en « shônen ». La série pose une question fondamentale : que signifie vraiment vivre, quand la mort rôde constamment et que l’espoir semble inaccessible ?
Sasha assisté par ChatGPT